samedi 31 janvier 2009

Playlist janvier 2009

Hep hep hep, vous pensiez y échapper en 2009 et bien non, pas moyen : on y retourne comme en 14. Here comes the incredible padawan's january playlist. Merci pour lui.

1 - Muse - Muscle Museum (Soulwax Remix)
2 - Skatebard - Skatebard loves you (téléchargeable sur rcrdlbl.com)
3 - Santogold - L.E.S artistes (+ d'excellents remixes de Santogold sur rcrdlbl.com)
4 - Surkin - Kiss'n'Horns
5 - Dave Clarke - L'album Remixes and Rarities
+ Matisyahu- L'album Youth (une fois n'est pas coutume du très bon reggae)

Et puis une excellente série dans laquelle nous nous sommes replongés ce mois-ci avec line-cé : "Six Feet Under" de HBO, toujours aussi réussi dans le ton et la réalisation : à voir ou revoir selon, mais vous ne pouvez pas passer à côté de cette très belle saga, non vous ne le pouvez pas c'est sûr...

Obamarie





Le graphiste auteur de ce travail est obey

petit écran publicitaire

vendredi 30 janvier 2009

Tu veux de la provocation artistique?

Et bien je vais t'en donner Garg!

Polémique artistique ?

Entropa : le ridicule va-t-il tuer la Bulgarie?

Bon, on est d’accord, représenter la Bulgarie sous forme de toilettes à la turque dans l’œuvre Entropa20090120 ENTROPA 01 exposée dans l’atrium du Conseil des ministres à Bruxelles n’est pas d’une grande subtilité. Mais c’est de l’art, quoiqu’on en pense. Sofia ne l’a pourtant pas entendu de cette oreille : en dépit des excuses officielles du gouvernement tchèque, elle a voulu voir l’affront effacé. Résultat : depuis ce matin, le module bulgare est délicatement… recouvert d’un voile noir.

Passer des toilettes à la turque à un voile, est-ce une nouvelle forme d’humour tchèque ? En tous les cas, la Bulgarie, en créant l’incident, va réussir l’exploit d’attirer l’attention du monde entier sur sa représentation telle qu’imaginée par l’artiste David Cerny. Ce n’est pas très malin. La Slovaquie, elle, a accepté les excuses tchèques et considère que l’affaire est « close ».

20090120 ENTROPA 02 L’œuvre me plaît de plus en plus, surtout depuis que le président tchèque, l’europhobe Vaclav Klaus l’a condamné. L’homme qui se considère comme un génie ne doit pas gouter d’être ridiculisé publiquement par Entropa…
(source : http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/)

Bon anniversaire

Macintosh 420

Votre Macintosh vient de fêter ses 25 ans.

jeudi 29 janvier 2009

Cicéron "speechwriter" d’Obama ?: l’éloquence revient à la Maison-Blanche

Quand l'art oratoire antique aide à comprendre pourquoi le nouveau président américain a été élu : une étude en règle du "style obamien".

Même si l’adresse inaugurale du nouveau président américain ne constitue pas, à première vue, son meilleur discours, elle confirme qu’avec Barack Obama, l’éloquence fait son grand retour à la Maison-Blanche après des décennies de "communication" et d’appauvrissement du discours présidentiel américain, statistiquement analysé par Elvin Lim dans The Anti-intellectual Presidency.

De fait, l’arsenal rhétorique d’Obama – servi de plus par des qualités (élégance, voix, gestuelle) décisives à l’actio de l’ orateur – a de quoi impressionner. On retrouve, peu ou prou, les mêmes caractéristiques dans tous ces grands discours, depuis la convention démocrate de 2004, qui a lancé sa carrière nationale, jusqu’à son Victory speech du 4 novembre, en passant par le plaidoyer d’anthologie pour la réconciliation interraciale à Philadelphie en mars dernier et le discours de Berlin sur les relations États-Unis/Europe en août...Et même le discours d’investiture du 20 janvier, nous le verrons, s’intègre parfaitement dans ce "style obamien", dont la richesse fait du 44ème président des États-Unis un "nouveau Cicéron" (Charlotte Higgins du Guardian.)

L’abondance des figures utilisées est un premier signe de cette richesse : allitérations, anaphores (répétitions initiales d’une phrase à l’autre), antithèses, rythmes ternaires, questions et précautions oratoires, concessions, dialogisme (échange imaginé avec des interlocuteurs absents), ainsi qu’un goût prononcé pour la métonymie, détail qui frappe l’imaginaire bien plus que le concept générique ou l’idée abstraite : pour parler d’écologie, par exemple, point de chiffres ni de considérations savantes sur le réchauffement climatique mais une évocation concrète: "tandis que nous parlons, des voitures à Boston et des usines à Beijing font fondre la calotte glaciaire dans l’Arctique, réduisent le littoral sur l’Atlantique, et amènent la sècheresse dans les fermes, du Kansas au Kenya" (discours de Berlin).

Le jeu subtil sur les trois registres aristotéliciens du discours est une autre force du style obamien : importance de l’ethos, c'est-à-dire du caractère de l’orateur lui-même, qui aime souligner les différentes facettes de sa personnalité (à commencer par sa double origine ethnique) et recourt de façon systématique au storytelling personnel : ainsi dans presque tous ses discours, la saga de son père kenyan. Le pathos, le ressort affectif, est l’autre registre majeur d’Obama, incarné par un appel systématique aux valeurs et aux mythologies identitaires : liberté, bonheur, foi, pères fondateurs etc…; là encore le procédé du storytelling à fonction métonymique est roi : Ainsi, le 20 janvier, pour évoquer l’esprit de sacrifice, il met en avant les soldats "morts à Concord, Gettysburg, en Normandie et à Khe Shan" ; ou, pour illustrer l’indispensable solidarité citoyenne : "C’est la gentillesse de ceux qui accueillent un étranger lorsque les digues sont rompues, c’est l’altruisme des travailleurs qui préfèrent réduire leurs heures de travail plutôt que de voir son ami perdre son emploi, etc…" Quant au logos, l’appel à la raison, il est également présent notamment à travers l’utilisation – cardinale selon Aristote – de l’enthymême ou syllogisme oratoire fondé sur l’analogie: "Si nous avons pu créer l’OTAN pour faire plier l’Union soviétique, nous pouvons nous retrouver dans un partenariat nouveau et global pour démanteler les réseaux qui ont frappé à Madrid et à Amman" (discours de Berlin).


Mais le plus intéressant – et le plus ingénieux – se trouve sans doute dans la façon dont Obama mêle les trois registres : l’émotion est toujours sollicitée dans l’ethos : ainsi lorsqu’il souligne l’humilité et l’humanité de ses grands-parents (des deux côtés !) ; inversement, les passages les plus affectifs sont soigneusement ponctués de connecteurs logiques ("c’est pourquoi", "donc").

L’on est également frappé par la rigueur de la construction de discours souvent très longs, dont les différents moments sont savamment reliés par des relations d’analogie et des images récurrentes : "les ponts" – à construire – et les "murs" – à abattre – (discours de Berlin), le long "voyage" de l’Amérique (20 janvier). Par ailleurs, jouant sur la structure classique de l’exposition (exorde, narration, thèse, péroraison), Barcack Obama sait prendre les libertés du virtuose : départs in medias res (dans le vif du sujet), digressions nombreuses, et longues exhortations.
Ce dernier trait est aussi typique d’un style fortement marqué par les prédicateurs noirs américains ; c’est également le cas de la pratique obamienne du call and response, illustrée par le fameux yes we can, repris en chœur par le public. N’est-ce pas encore la référence biblique qui inspire le message central du discours de Berlin : le passage de l’ ancienne Alliance de la guerre froide à la nouvelle Alliance contre les périls de notre monde? Et n’est-ce pas encore elle que l’on retrouve le 20 janvier, dans le slogan de la "refondation de l’Amérique" ("remaking America"), illustrée par la référence répétée à la fondation du pays, et l’analogie entre deux "hivers d’épreuves", celui surmonté en son temps par George Washington et celui que nous connaissons aujourd’hui ? Cette réactivation constante de l’origine, ce renouvellement du pacte primordial, cette relecture des "actes fondateurs", est une thématique centrale d’Obama. Dans l’aventure biblique du peuple américain, il ne propose rien moins qu’un Nouveau Testament de la Liberté "à remettre intact aux générations futures"… A vrai dire, son deuxième speechwriter, aux côtés de Cicéron, pourrait bien être…Jésus-Christ !

On le voit, l’unité d’inspiration, d’un discours l’autre, est frappante. Dès lors l’on peut mesurer précisément les différences entre les discours du candidat et la première allocution du président. Elles tiennent tout simplement au contexte. Contrairement à l’adage, tout bon discours est en effet un "discours de circonstances". Or celles-ci ont changé radicalement. Désormais doté de la légitimité morale et de l’autorité légale (sans parler des sondages de rêve !), Barack Obama n’a plus besoin de développer le registre de l’ethos : les Américains sont convaincus de ses qualités. Lui, qui avait tant développé dans sa campagne le caractère improbable ("unlikely") de sa candidature, pour retourner l’argument en sa faveur (n’était-il pas aussi improbable que le rêve américain lui-même ?) a désormais cause gagnée. D’où dans le processus d’énonciation, après une rapide captation de bienveillance, la quasi-disparition du "je" et l’omniprésence du "nous" : chef incontesté du "we-group" national, le nouveau président peut parler au nom de tous. D’où également la structure beaucoup plus classique de l’ensemble qui sied à la dignité présidentielle.
Demeure pourtant, constante chez Obama, la grande variété des destinataires du discours ; le peuple américain dans toutes ses composantes bien sûr, "Union" oblige, mais aussi de nombreux interlocuteurs étrangers : alliés traditionnels, mais aussi Musulmans auxquels on tend la main ; dictateurs de tout poil et terroristes que l’on met en garde. Demeurent les très nombreux appels à l’action et au devoir (must), que l’on attend d’un homme qui doit "tracer la route" – métaphore centrale qui est donc parfaitement choisie. Demeure aussi – trait essentiel du bon orateur – la grande clarté de la thèse et du message ("le monde a changé et nous devons changer avec lui"). Demeure enfin cette conviction impressionnante, cette "probité", à laquelle, nous rappelle Aristote, "le discours emprunte je dirai presque sa plus grande force de persuasion".
(d'après nonfiction.fr 20 janvier 2009)

mercredi 28 janvier 2009

Le saviez-vous?

Et non, Michel Michel n'est pas qu'une légende urbaine a.k.a Mich Mich le plus sympa des profs d'auto-école - Les puristes apprécieront -

Le saviez vous? Il existe même deux homonymes relativement célébres baptisés de cette douce résonance :

1 - Michel Michel est un sociologue français né en 1943. Il a été consultant en milieu hospitalier pour le management et le développement personnel et il est Maître de conférences à l'Université des sciences sociales de Grenoble.
Ses recherches menées notamment avec Jean-François Thirion portent sur la gestion des institutions de santé et interrogent les problèmes de la violence et de la conflictualité dans ce milieu de travail. Sa bio complète ici.

2 - Michel Michel est un géographe français, spécialiste de la géographie urbaine, économique et régionale.
En 1983, il passe sa thèse, intitulée Les problèmes du développement. des villes moyennes à la périphérie de la région parisienne. Il est professeur de géographie à Paris XIII. Sa bio et biblio ici.

Hmm, hmm, ça sent le collier de barbe tout ça...

Au saut du lit.

C'est pas trop les paroles qui me touchent mais la simplicité du clip et du montage. Un lit, des vêtements et une jeune femme charmante. Rien de vulgaire, ni de provoc, simple, simple, simple...

Voici Her morning elegance par Oren Lavie.

mardi 27 janvier 2009

Parce qu'au Petit Synode, on protège les pandas

Une petite vidéo du très bon label Chinese Man Records. un CD vient de sortir avec les sessions de 2004 à 2007.

lundi 26 janvier 2009

Fever Ray. L'après The Knife

Pour faire plaisir à Padawan qui aime autant que moi The Knife, voici le lien vers la myspace de Fever Ray le nouveau projet de Karin Dreijer Andersson. L'album sortira le 23 mars

Pour entendre le premier morceau de cet album suivez le lien



et comme je suis trop sympa, je vous présente le clip dirigé par Andreas Nilsson:

Gérard Blanc n'est plus.

C'est un moment grave pour le Petit Synode! C'est la fin de l'histoire de ce grand chanteur des 70's et 80's. Gérard Blanc, l'homme qui a inspiré Gérard Mulet Gérard est mort d'une hémorragie dans la nuit de samedi à dimanche.

Je vous propose en hommage son célèbre morceau de 1987:

dimanche 25 janvier 2009

vendredi 23 janvier 2009

jeudi 22 janvier 2009

L'indus L'indus L'indus!

Pour répondre à Hollyeah, voici une autre forme que certains critiques mettent dans la catégorie indus. The residents

Voici Hello Skinny (C'est très calme mais très dérangeant)



Puis la reprise de It's a man's, man's, man's world:

pour toi fan de modélisme.



voici le travail d'un psychopathe Kris Kuksi le reste a voir sur son site :  http://kuksi.com

Continuons sur de l'Indus!

Après Laibach, je me dois de poster un petit Einstürzende Neubauten. Deux clips de l'album Silence is sexy.

Tout d'abord Sabrina:


Puis Silence is sexy:

mercredi 21 janvier 2009

Laibach



j'aime bien

Oui encore un post...
Car aujourd'hui c'est mon 1er jour alors j'en profite. (et j'ai pas de taf aussi)

Cette foie-ci c'est pour vous présenter une équipe de jeunes réalisateurs leur nom "MEGAFORCE"
Voici 2 clips particulierement créatifs.
le 1er, Live Good des Naive New Beaters.
c'est grâce à celui-ci que Megaforce c'est fait un nom.
Le second c'est : "A thing for me" de Metronomy
leur dernière réalisation.

je dis chapeau !




XXX HXC4LIFE XXX



En souvenir des années prépuberts pour certains...
pour d'autre une découverte qui ne changera certainement pas le cours de leur vie.
Comment danser sur du HxC avec SICK OFF IT ALL

Anthony and the Johnsons par les frères Wachowski.

J'ai acheté hier le dernier Anthony and the Johnsons, il est encore trop tôt pour en tirer une conclusion sur la valeur, la qualité ou l'esthétisme...

Mais il y a déjà un mauvais point puisque le clip d'Epilepsy is dancing a été réalisé par les réalisateurs de Matrix. Trilogie que je porte pas dans mon coeur. Mais je vous laisse juge de la qualité du clip:

Wiche wiche wiche


Ca y est ! le carnaval de Dunkerque a déjà commencé, pendant 3 mois le ch'ti va se déguiser
en pute et arpenter les rues de Dunkerque en chantant. Bourré comme un cartable il fera la teuf jusqu'au bout de la nuit pour recommencer le lendemain. Wiche wiche wiche
Putain ! je pose tous mes RTT !

Vous prendrez quoi comme concert ce soir?

Bonjour les amis, ce soir on part en concert, j'ai besoin de me sortir de la mauvaise pièce de théâtre vu hier. Alors qu'est-ce qu'on va prendre?...

Tiens! Un petit Burgalat et une petite April March. L'immense Bertrand Burgalat fait sa tournée d'adieu et April March vous la connaissez grâce à la BO de Boulevard de la mort de Tarantino avec le morceau Chick habit.

Alors pour donner un avant-goût voici deux titres de nos musiciens:



bonjour !


Bonjour messieurs dames,
je suis très heureux de vous rejoindre sur le Petit Synode.
Merci à Padawan et les autres membres pour cette belle invitation !

Présentation minimum :
Je me nomme Hollyeah, un vieux pote de Papadawan!
je vis et travaille sur Paris depuis 3 ans
je suis DA dans le monde merveilleux de la publicité...

J'espère vous faire découvrir de belles videos, clips, photos, sites et bien d'autres choses.






mardi 20 janvier 2009

Piste de dance incongrue

Mon srab olivier me suggère ce post. Encore de la "qualité et perfection" (private joke) au rendez-vous. Donc bien sûr je publie cette vidéo mais pour les autres je te laisse faire mon minou...

Noam Chomsky Vs Barack Obama

On continue dans la même lignée mais cette fois d'une manière subversive me plaisant un peu plus! Je vous propose l'analyse de Noam Chomsky sur l'investiture de Barack Obama. Troublant et en même temps si prévisible face à la sur-médiatisation "historico-historique" d'un "noir" à la Maison Blanche. Je tiens à souligner son analyse sur le racisme occidental d'une grande clairvoyance et toujours aussi prévisible... enfin lorsqu'on se nomme Chomsky.

Daft Punk vs Obama

Comme c'est le moment d'en parler car demain les journalistes nous parlerons des malheurs de la RDC (On peut toujours rêver d'un sursaut journalistique!) et pour faire plaisir à Padawan, je vous propose un lien vers un clip dirigé par Gold sur la musique de Daft Punk avec les Art toys de Dalek, Bill McMullen etc. C'est dans l'air du temps, c'est frais et c'est toujours bon d'entendre de la bonne musique! Daft Punk vs Obama

Alors je vous demande de cliquer ici

lundi 19 janvier 2009

Friendly Fires - Skeleton Boy

Allez, hop hop hop, on enchaîne par un clip réalisé par Clemens Habicht pour le groupe Friendly Fires. Tourné entièrement à huit clos avec l'aide de plusieurs ventilateurs et des dizaines de milliers de ...... billes blanches.


Friendly Fires 'Skeleton Boy' by Clemens Habicht from Nexus on Vimeo.

Motiver les troupes!

Voici le graphe du Petit Synode. Vous ne voyez rien d'étrange sur la fin?



On est en perte de vitesse les gars, la boffitude n'est plus en nous, comment défendre nos idées lorsque les internautes ne viennent plus chez nous? Redonnons un coup de fouet! Je relance les invitations à participer au blog, on verra s'il y a des courageux!

Est-ce que tu viens pour les vacances?

Car Méphisto il a pas changé d'adresse. Je serai, je pense, un peu en avance sur le rendez-vous de nos Ti punch!!!!!
Parce qu'il fait froid, que je passe en boucle la vidéo de cette plage de galet. Je vous offre un peu d'évasion.
C'est partie les ami(e)s:


Encore de la photo.

Pour aller dans le sens de notre ami Padawan, voici quelques photos de Desiree Dolron, photographe néerlandaise.
Je vous laisse regarder, c'est pas aussi coquin que les photos de Padawan voire pas du tout coquin... Désolé!





samedi 17 janvier 2009

Sexy pixels

Un travail intéressant proposé par le photographe Jean-Yves Lemoigne.





vendredi 9 janvier 2009

Propagande soviétique avec des zombies dedans!

Pour nous rappeler nos vertes années et ces heures passées sur le bloc de l'Est, je me dois de vous faire découvrir le groupe russe Anjkill et le clip "Gorbachov" dirigé par Tom Stern.

Entre propagande soviétique, zombies sortis du plus pur nanard et des jeunes gourgandines franchisé CCCP, on ne peut que comprendre pourquoi je me suis mis au Russe cette année!


GORBACHOV: THE MUSIC VIDEO - BIGGER AND RUSSIANER from Tom Stern on Vimeo.

Le plus beau clip de 2008

Comme notre ami Padawan, je regrette amèrement notre relâchement. Nous devons véritablement redonner un coup de boost sur le blog. Garg avait une idée à creuser.

Mais en attendant, je vous passe le clip le plus intéressant de 2008, pas une seule fille en bikini, de bling-bling ou autre effet ultra cher à base de grosse voiture ou d'ordinateurs...

C'est Caskets de Damien Jurado. Le clip est dirigé par Matt Daniels. A voir impérativement en Full screen!


Damien Jurado, "Caskets" from Matt Daniels on Vimeo.

jeudi 8 janvier 2009

mercredi 7 janvier 2009

Playlist 2008

Beaucoup trop de laisser aller sur ce blog : seulement 6 posts en décembre! Pffff... Ce n'est pas bon...

J'enchainerai donc sur une playlist globale pour 2008 : ce qui m'a marqué cette année au niveau musical. Let's go :

1 - The Knife - l'album Silent Shout - An audiovisual experience - Live stereo recording
2 - The Presets - l'album Apocalypso
3 - Neon Neon - l'album Stainless Style
4 - Midnight juggernauts - l'album Dystopia
5 - Sebastien Tellier - l'album Sexuality

Et pour celui que je ne souhaite plus revoir en 2009... Mais vous savez déjà qui : C_ _ I a.k.a L'homme excrément.

Superbe année à tous